D’ici 2029, WE déploiera une enveloppe record de 2,5 milliards d’euros pour financer la croissance, la transition énergétique, la réindustrialisation et la relocalisation en Wallonie. Une ambition inédite portée par une feuille de route claire, des objectifs d’impact concrets… et une nouvelle gouvernance.
Changement de tempo chez WE qui entre dans une nouvelle phase de son développement.
À l’horizon 2029, ce sont 2,5 milliards d’euros qui seront injectés dans l’économie wallonne.
Un objectif qui s’accompagne d’un impératif de rentabilité maîtrisée (750 millions d’euros sur 5 ans) et d’un recentrage stratégique autour de missions prioritaires : la réindustrialisation, la transition énergétique, la croissance des entreprises et l’innovation.
Réindustrialisation, relocalisation, décarbonation : des leviers de transformation assumés
Parmi les priorités identifiées, 700 millions d’euros seront fléchés vers des projets de réindustrialisation, notamment dans le secteur de la défense. Objectif : répondre aux besoins concrets des entreprises, relocaliser cinq chaînes de production en Wallonie et accompagner une transformation industrielle cohérente avec les enjeux environnementaux.
WE ambitionne également 250 millions d’euros d’investissements dans la transition énergétique, via des projets d’infrastructures (SMR, stockage) et 1.000 démarches de décarbonation auprès d’entreprises et de structures de soins.
Financer, faire grandir, faire rayonner
L’ambition s’incarne aussi dans l’accompagnement des entreprises wallonnes vers la croissance et l’internationalisation :
50 opérations de croissance externe financées, avec un rôle accru de lead investor ;
175 millions d’euros pour soutenir l’internationalisation, en partenariat avec l’Awex ;
50 start-ups deeptech financées pour transformer l’innovation en valeur économique ;
1,25 milliard d’euros de garanties pour créer 2.500 nouvelles entreprises et faciliter 1.750 transmissions.
Nouvelle gouvernance, nouvelle dynamique
Trois ans après la fusion des trois outils financiers publics, WE revoit également sa gouvernance. Le nouveau conseil d’administration, présidé par Jean Hilgers, a validé une réorganisation des business units (de 13 à 9) et une plus grande lisibilité des expertises, notamment pour les start-ups à l’intersection du digital et du lifescience.
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